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Le Brésil, grand favori des français (CdM 2014)

D’après une étude menée en ligne par le TNS Sofrès (pour le PMU) suivant la méthode des quotas, ce sont pas moins de 43% des français interrogés qui pensent que le Brésil sera le prochain champion du monde de football. Cette enquête qui a été menée début avril voit cependant un certain nombre d’évolutions : de plus en plus de français pronostiquent la France en finale (4%, contre 3% en mars) et en demie finale (23% contre 21%). Le deuxième derrière le Brésil est l’Espagne, avec seulement 9% des votes. On notera finalement que l’Argentine n’a aussi que 4% des intentions, et la Colombie ne se retrouve plus dans le classement…

Le PMU a organisé un challenge pour le Brésil 2014
Le PMU a organisé un challenge pour le Brésil 2014

Brésil 2014 : Profil de l’amateurs de paris sportifs

TNS Sofrès a également sondé les amateurs de football. Parmi eux, ce sont 52% des sondés qui ont avoué avoir déjà parié sur une rencontre, avec seulement 37% ayant eu un intérêt financier. C’est relativement peu quand on sait que le football assure la plus grande partie des paris sportifs (70%). Comment ces parieurs football ont-ils placé de l’argent ?

  1. 19% en point de vente physique
  2. 18% sur internet
  3. 8% contre des amis proches

Si évidemment le sondage est biaisé (il a été fait sur internet), cela montre quand même une certaine popularité croissante des paris en ligne, ce qui est de bon augure avec la Coupe du Monde qui approche. Aussi, on voit que la FDJ conserve son avantage avec la liste parions sport qui est le seul moyen de parier chez un buraliste.

Pourquoi ont-ils l’intention de parier sur le Brésil 2014 ?

Quelles raisons les mènent à parier sur le football, et sur la Coupe du Monde au Brésil ? Heureusement, la priorité reste l’amusement (52%), ce qui doit soulager l’ARJEL. En second lieu, la perspective de gains (35%), puis enfin le prestige (18%) vis à vis de son entourage. Curieusement, si l’amusement est le premier critère, cela ne veut pas dire que les parieurs vont forcément placer un pari sur leur équipe favorite, de manière biaisée : près de 70% d’entre eux fonctionnent de manière la plus objective possible. Encore un bon point.